Et vous qu’en pensez-vous ?
L’application I.Avocat a été lancée au mois de janvier par un entrepreneur lyonnais en France.
L’utilisation des IA dans le domaine juridique suscite déjà de nombreux
questionnements et reste un sujet de préoccupation majeur pour l’avenir des différents
métiers du droit. Me Eolas, l’avocat, star sur X, tandis qu’un confrère se plaigne de
l’appellation de l’application utilisant illégalement le nom d’avocat et pointe la
profession.
Imagine qu’un avocat en chair et en os est remplacé par un algorithme qui ne soit pas une
innovation anodine ?
L’objectif de l’application est clair comme de l’eau de roche : devenir un véritable avocat
de poche virtuel, capable de soutenir ses utilisateurs dans toutes les questions d’ordre
juridique qu’ils peuvent se poser. Issam Reghi, son créateur, désormais installé à Dubaï,
a dit que l’avocat a pour but d’expliquer les choses avec des mots simples.
Et son avocat serait capable d’apporter des réponses en 1 minute, là où un avocat
mettrait 1 an.
Le modèle d’IA qui se cache derrière I avocat a été entrainé grâce à une gigantesque
base de données regroupant un demi-siècle de programmes de l’école du bureau et de
la magistrature, ainsi que de multiples décisions judiciaires. Comme le dit
l’entrepreneur, l’avocat ne se décrit pas comme un avocat, mais bien comme une
intelligence artificielle.
L’application I.avocat en Afrique offre de nombreux avantages. Elle permet aux gens
d’accéder facilement à des services juridiques, d’obtenir des conseils juridiques rapides
et de rester informés sur leurs droits. Cela contribue à une meilleure protection des
droits des individus, mais jusqu’ou ?
En conclusion, l’I-avocat entrainé à l’aide d’une immense base de données juridiques, ce
modèle d’IA se veut être un substitut plus économique aux avocats réels.
Et vous qu’en pensez-vous ?
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